Amazones. (Eve - Les filles de Loth.)

Il existe dans la Genèse deux passages évoquant la création de la femme.
Le premier passage indique : « Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu il le créa, homme et femme il les créa » (Gn 1,27). Ce passage « homme et femme il les créa » a rarement été interprété comme évoquant une « androgynie originelle. »
Selon le second chapitre de la Genèse, Adam est le premier homme et a été créé par Dieu lors du sixième jour de la Création à partir de la poussière de la terre qu'il façonna à son image, avant de l'animer de son souffle (Gn 1,27). Comme Dieu considérait qu'Adam devait avoir une compagne, il modela des animaux qu'il amena à Adam pour voir comment il les appellerait. Adam donna un nom à chacun d'entre eux, mais ne se trouva pas de compagne. Alors Dieu l'endormit, et créa une femme (qu'Adam appela plus tard Ève) à partir d'une côte d'Adam. Un débat exégétique existe sur la traduction de l'expression אַחַת מִצַּלְעֹתָיו, « une de ses côtes ». Saint Jérôme en fait la traduction de « côte » (ce qui sous-entend une subordination de la femme par rapport à l'homme) alors que le mot hébreu « ṣelaʿ » prend plus souvent le sens dans la Bible de « côté » ou « flanc » : Ève serait sortie du côté d'Adam endormi et non de sa côte, renvoyant ainsi à l'androgynie originelle
Les filles de Loth s'inspire du premier livre de l'Ancien Testament : la Genèse, chapitre XIX. Il y est dit que, voulant détruire les villes de Sodome et Gomorrhe, Dieu commande au neveu d'Abraham de fuir cette contrée sans se retourner avec sa femme et ses deux filles. Pendant la fuite, la femme de Loth regarde en arrière et devient une statue de sel.
Dans la Bible, les filles de Loth sont seulement citées par les substantifs « les filles », « l'aînée » et « la plus jeune ». Les filles de Loth enivrent leur père et couchent avec lui pour conserver leur race.
Pour le poète, qui prénomme les filles Sarah et Agass, la raison première du coït incestueux est l'assouvissement du plaisir sexuel. Les deux sœurs s’amusent d’attouchements avant de se livrer à l'inceste paternel. L'acte incestueux, dans la Bible et dans le poème, est commis par la femme et non par l'homme, enivré et inconscient. La Genèse souligne l'irresponsabilité de l'homme : « il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva », comme le poète qui conclut par cet alexandrin : « Loth, en se réveillant n'avait rien vu, ni su ».
Les filles de Loth s'inspire du premier livre de l'Ancien Testament : la Genèse, chapitre XIX. Il y est dit que, voulant détruire les villes de Sodome et Gomorrhe, Dieu commande au neveu d'Abraham de fuir cette contrée sans se retourner avec sa femme et ses deux filles. Pendant la fuite, la femme de Loth regarde en arrière et devient une statue de sel.
Dans la Bible, les filles de Loth sont seulement citées par les substantifs « les filles », « l'aînée » et « la plus jeune ». Les filles de Loth enivrent leur père et couchent avec lui pour conserver leur race.
Pour le poète, qui prénomme les filles Sarah et Agass, la raison première du coït incestueux est l'assouvissement du plaisir sexuel. Les deux sœurs s’amusent d’attouchements avant de se livrer à l'inceste paternel. L'acte incestueux, dans la Bible et dans le poème, est commis par la femme et non par l'homme, enivré et inconscient. La Genèse souligne l'irresponsabilité de l'homme : « il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva », comme le poète qui conclut par cet alexandrin : « Loth, en se réveillant n'avait rien vu, ni su ».
Le récit de la Création d’Adam et d’Eve se trouve, avec quelques variantes dans la Bible hébraïque et chrétienne, mais aussi dans le Coran.
Le récit généralement retenu se trouve dans le Livre de la Genèse II.7 Il y est dit que Dieu forma l’Homme à partir de la poussière du sol et qu’Il lui insuffla la Vie en lui soufflant dans les narines.
Eve, dont le nom – Havah, signifie Vie, fut ainsi appelée par Adam, Mère de tous les vivants.
Dans la Genèse II.21.22 Adam, se plaignant de se trouver seul et sans aide, Dieu l’endormit, et prélevant une de ses côtes, en façonna une femme. Le mot côte vient de la traduction de saint Jérôme, mais l’hébreux le traduit préférentiellement par coté, ou flanc, d’où sortira Eve. Dans le Coran, Eve est créée à partir d’une côte gauche d’Adam.
Dans la mythologie grecque, les Amazones (en grec ancien Ἀμαζόνες / Amazónes ou Ἀμαζονίδες / Amazonídes) sont un peuple de femmes guerrières que la tradition situe sur les rives de la mer Noire, certains historiens les plaçant plus précisément sur les bords du Pont-Euxin dans le nord de l'Asie Mineure actuelle, et d'autres dans l’extrême ouest de la Libye1.
Les Amazones apparaissent pour la toute première fois dans l'Iliade en tant que personnages de fiction, probablement au viiie siècle av. J.-C., comme étant toujours et uniquement des femmes. Au-delà de l'aspect mythologique, des historiens suggèrent que les Amazones pourraient correspondre aux femmes guerrières des peuples scythes et sarmates2.
Le terme « Amazones » en est venu à décrire tout groupe de femmes-guerrières, dont l'existence est souvent fantasmée.